photo Spectacle au Théâtre de l'Archipel : Les Yeux de Taqqi / Paname Pilotis

Spectacle au Théâtre de l'Archipel : Les Yeux de Taqqi / Paname Pilotis

Manifestation culturelle

Granville 50400

Le 16/11/2021

C’est le voyage initiatique de Taqqi, petit Inuit aveugle qui « veut voir, veut savoir, veut pouvoir ». Il part en quête du monde et du royaume des Grands, entre rêve et réalité, fantasmagories et territoires invisibles. Taqqi de retour de son périple et le regard changé, découvrira ses trésors cachés, aussi étincelants que les falaises gelées du Groenland... « Dans un décor dessinant le Grand Nord : une lune flotte au-dessus d’îlots de glace, de la banquise et d’un igloo qui devient montagne. Trois marionnettes réalistes figurent les humains, les autres évoquent un bestiaire (ours, chien, oiseau, poisson) ou les visions de l’enfant. Trois comédiennes marionnettistes les manipulent à vue et avec précision, sur une partition musicale qui mêle chant traditionnel et son électro, et dans une scénographie mobile de toute beauté. » Françoise Sabatier-Morel, Télérama.

photo Spectacle au Théâtre de l'Archipel : Les Yeux de Taqqi / Paname Pilotis

Spectacle au Théâtre de l'Archipel : Les Yeux de Taqqi / Paname Pilotis

Spectacle

GRANVILLE 50400

Le 16/11/2021

C’est le voyage initiatique de Taqqi, petit Inuit aveugle qui « veut voir, veut savoir, veut pouvoir ». Il part en quête du monde et du royaume des Grands, entre rêve et réalité, fantasmagories et territoires invisibles. Taqqi de retour de son périple et le regard changé, découvrira ses trésors cachés, aussi étincelants que les falaises gelées du Groenland... « Dans un décor dessinant le Grand Nord : une lune flotte au-dessus d’îlots de glace, de la banquise et d’un igloo qui devient montagne. Trois marionnettes réalistes figurent les humains, les autres évoquent un bestiaire (ours, chien, oiseau, poisson) ou les visions de l’enfant. Trois comédiennes marionnettistes les manipulent à vue et avec précision, sur une partition musicale qui mêle chant traditionnel et son électro, et dans une scénographie mobile de toute beauté. » Françoise Sabatier-Morel, Télérama.